Du carnet de poésie au collège à l’ordinateur aujourd’hui tout en passant par la douce feuille de papier libre (plus blanche que blanche, sans ligne irritante, la virginité par excellence), je me suis défoulé à l’aide de mots d’émotion, de cœur, d’amour pour écrire des « jets d’écriture ».
Durant les durs moments de la création poétique, les arts comme la peinture et la musique ont comblé quelques maux et ont permis une effervescence dans l’écriture. Bonne ou moins bonne. Elle me plaît, me conforte, m’apaise, m’offre un bonheur de vivre.

Enseigner la langue, notamment comme langue seconde, m’a permis de décortiquer, disséquer même, la langue pour mieux me l’approprier, bien souvent avec plaisir.
L’écriture est un besoin, une nécessité, une thérapie, un art, un message surtout à soi-même, une respiration, un bonheur même si difficilement gagné.

J’écris comme je pense, j’écris comme je respire, j’écris comme je vis; je vis donc j’écris !
Je vous invite à voyager dans ce recueil parmi d’autres et y respirer le parfum de la poésie.